« Cœur inquiet ne prospère pas. » Ce proverbe antillais semble avoir été écrit pour notre ami Marc, enfoncé dans le cuir anthracite d’un vieux canapé. Alors que nous préparons notre matériel (d’une complexité que vous imaginez affolante), le garçon nous fixe d’un œil joueur, comme s’il avait hâte d’en découdre. Ça tombe bien, nous aussi. Le micro enfin réglé, nous le tendons vers Marc, dont les lèvres se fendent d’un généreux sourire. Nous sommes déjà conquis.
